Si je pouvais résumer toute ma foi, elle est vraiment là :Je crois à cette Vie d’un Autre en moi,
je crois au risque infini de Dieu,
je crois à la tragédie éternelle de l’amour crucifié,
je crois à la fragilité de Dieu parce que
s’il n’y a rien de plus fort que l’amour,
il n’y a rien de plus fragile.
In : L’homme, l’espoir de Dieu, Lausanne, 1955